Psychogénéalogie : retrouver ses racines, libérer son présent

 

Un accompagnement en psychogénéalogie pour se libérer des schéma familiaux

Origines & fondements : d’où vient la psychogénéalogie

 

La psychogénéalogie est née dans les années 1970 grâce à la pionnière Anne Ancelin Schützenberger, une psychologue-thérapeute française.

Elle a mis en lumière que nos ancêtres transmettent non seulement des gènes ou des biens, mais aussi des traumatismes non résolus, des loyautés invisibles, des schémas répétitifs.
La psychogénéalogie relie donc deux grandes lignes :

  • la généalogie (l’arbre, les dates, les prénoms, les deuils, les secrets) ;
  • la psychologie / le système familial (ce que l’on vit, ce que l’on subit, ce qui se répète)

Elle repose sur l’idée que nous ne sommes pas des feuilles isolées dans un arbre, mais des rameaux connectés à un tronc, des héritiers d’un grand réseau.

Ce que la psychogénéalogie apporte vraiment: Comprendre la matrice invisible

Souvent, on vit des émotions, des blocages, des peurs ou des schémas qui nous paraissent “illogiques” ou “injustes”. La psychogénéalogie propose : et si ce n’était pas seulement « toi » ?
Les traumas non traités chez nos ancêtres peuvent se transmettre sous forme de loyautés invisibles, de répétitions qui nous échappent. Exemple : une peur de l’eau chez l’enfant alors que son père avait failli se noyer.
En l’éclairant, on :

  • met des mots sur l’invisible ;
  • donne une piste de libération.

Choisir ce que l’on garde / ce que l’on jette

    La clé forte ici : tu n’es pas condamné·e à répéter.
    Grâce à la psychogénéalogie, tu peux :

    • Garder ce qui te sert : force, résilience, héritage positif, valeurs familiales que tu choisis.
    • Jeter ou transformer ce qui te dessert : schémas toxiques, loyautés qui t’enchaînent, non-dits qui te pèsent.
      Une source dit : « We repeat what we don’t repair. »

    Une libération consciente

      Lorsque l’on éclaire un schéma :

      • on cesse de subir l’invisible ;
      • on réorganise sa vie de façon consciente ;
      • on se re-place dans son arbre, mais surtout : dans sa vie.
        On ne “répare” pas l’arbre pour l’arbre… on s’autorise à être pleinement soi : ici et maintenant.
      Comment ça se passe concrètement ? (Le modèle que j’utilise dans mon accompagnement)
      • On commence par vous : ce que vous vivez aujourd’hui : émotions, blocages, schémas répétitifs.
      • On explore votre histoire familiale : prénoms, dates, deuils, liens invisibles.
      • On construit un outil – souvent un genosociogramme ou génogramme – pour visualiser ce qui se joue sur 3-4 générations
      • On identifie : les loyautés appuyées (ex. je suis le “bon” de la famille), héritages invisibles (ex. je porte une culpabilité ancestrale).
      • On choisit : ce que  vous gardez, ce que vous transformez ou laissez partir.
      • On intègre une touche de sophrologie parce que libérer ce qui se passe dans l’arbre c’est aussi relâcher ce qui se loge dans le corps.
      • Résultat : vous repartez plus léger·ère, plus aligné·e, avec votre juste place.
      Pourquoi ce chemin est-il nécessaire ?

      Parce que tant qu’un schéma ancestral reste non conscientisé, il agit « en coulisses » : fatigue, émotions difficiles, relations confuses, sentiments d’être bloqué·e.

      Parce que la société nous invite à “aller mieux”, mais rarement à regarder d’où vient ce “mieux”.

      Parce que vous êtes plus qu’un symptôme : vous êtes un être relié, un être de mémoire et de potentiel.

      Parce qu’en choisissant ce que vous gardez et ce que vous jettez, vous faites un cadeau à vos futures générations. Vous interrompez la transmission de ce qui dessert.

      Garder ce qui sert, laisser partir ce qui dessert

      C’est le cœur de ma vision.

      Garder :

      • les forces familiales : résilience, solidarité, créativité, courage.
      • les valeurs conscientes que tu choisis.
      • le lien vivant à ton arbre, sans être “soumis·e” à lui.

      Laisser partir :

      • les injonctions invisibles (“on n’a pas le droit de…”, “je dois être comme…”).
      • les schémas répétitifs (“je quitte toujours au moment de la fête”, “je fais toujours le bon élève” etc.).
      • les loyautés inconscientes qui vous utilisent comme porte-voix d’un ancêtre.
        Quand vous dites non à ce qui vous dessert, vous faites place au oui qui vient de vous.
        Quand vous dites oui à ce qui vous sert, vous faites place à votre plein épanouissement.

      Est-ce pour vous ?

      Oui — si :

      • Vous sentez un blocage que vous ne pouvez pas nommer.
      • vous vous  demandez “pourquoi ?” sans avoir de réponse.
      • Vous voulez vivre plus léger·ère, plus libre, plus vous.

      Vous souhaitez transformer un héritage familial : pas seulement “supporter”, mais “choisir”.

      NON — si :

      • Vous recherchez un simple “truc bien-être” sans vouloir creuser.
      • Vous ne voulez pas regarder votre histoire.

      Mais sachez : même porter le prénom d’un ancêtre ou être le dernier-né ne sont pas des petites choses. Ce sont des signaux.

      En conclusion

      La psychogénéalogie est une invitation :
      -> à être curieux·se de votre arbre.
      -> à être courageux·se face aux non-dits.
      -> à être actrice de son chemin.
      Vous n’êtes pas la répétition. Vous êtes la ré-invention.
      Et en libérant ce qui vous dessert, vous révélez ce qui vous sert.