Tu n’as pas à convaincre : tu es légitime

Femme qui prends confiance en elle qui OSE révéler qui elle est sans se compromettre

Quand une phrase vient te percuter en plein cœur

 

Laisse-moi te raconter une histoire.

Je me promenais avec une amie. Quand elle m’a demandéé

“Et toi, tu proposes quoi en ce moment ?”

Je lui parle, simplement.
De mon accompagnement en psychogénéalogie, de l’atelier sur les prénoms que je prépare pour le 20 novembre.
Je raconte ce que j’aime, ce qui m’anime, ce que j’ai vu se transformer chez mes clients.

Et là, elle me regarde, et me dit :“Tu n’arriveras pas à me convaincre.”

Bam.
Cette phrase-là, je ne l’ai pas vue venir.
Tu sais, celle qui vient comme une flèche bien placée, juste entre les côtes ?

Pendant une seconde, j’ai senti ma légitimité vaciller.
Une micro-voix, vieille comme le monde, qui murmurait :

“Et si elle avait raison ? Et si je n’étais pas assez ?”

Mais non.
Parce que je n’étais pas en train d’essayer de convaincre.
J’étais juste en train de partager.

Ce n’est pas ton manque de légitimité, c’est sa peur

 

Cette phrase n’avait rien à voir avec moi.
Elle parlait d’elle.
De sa peur de voir trop clair, trop profond, trop vrai.
De cette part d’elle qui n’était pas prête à regarder ce que son prénom pouvait réveiller.

Et c’est ça qu’on oublie souvent :
ce que tu proposes, ce que tu incarnes, peut venir déranger.
Pas parce que c’est faux,
mais parce que c’est vrai.

Parce que ça réveille ce que l’autre avait mis sous le tapis depuis longtemps.
Et quand tu tiens un miroir à quelqu’un, tout le monde n’a pas envie d’y plonger le regard.

Convaincre, c’est chercher dehors ce que tu sais déjà dedans

 

Le besoin de convaincre, c’est un vieux réflexe du manque.
Celui qui dit :“Si l’autre valide, alors c’est que j’ai raison.”

Mais non.
Ta vérité ne demande pas l’approbation.
Elle demande de la cohérence.
De l’ancrage.
De la foi en ton chemin.

Convaincre, c’est essayer de remplir à l’extérieur ce qui ne demande qu’à être reconnu à l’intérieur.
C’est te fatiguer à courir après la validation,
alors que ta légitimité n’a jamais dépendu de personne.

Tu n’es pas là pour convaincre

 

Ton rôle, c’est pas de “vendre” une idée.
C’est d’incarner tes valeurs ce qui fait sens pour toi.
C’est de semer une graine, même chez ceux qui te disent “non”.
Parce que parfois, un “non” d’aujourd’hui devient une ouverture six mois plus tard. Ou pas.

Et si certains ne comprennent pas, c’est ok.
Tu n’as pas besoin qu’ils valident ton chemin pour qu’il soit juste.

Laisse les projections de l’autre où elles sont

 

Ce que l’autre pense de toi ne parle jamais de toi.
C’est son regard, son histoire, ses peurs.
Et ce serait un vrai gâchis de te contracter à chaque fois qu’un autre se ferme.

Ne laisse pas les jugements éteindre ton feu.
Ne laisse pas les insécurités des autres décider de ta trajectoire.
Parce que pendant que tu doutes,
le monde attend la version de toi qui ose.

Ta légitimité ne se demande pas, elle se vit

Tu n’as rien à prouver.
Tu n’as rien à mériter.
Tu as juste à continuer.
À parler, à créer, à transmettre, même quand ça tremble un peu.

Parce que ce que tu fais est juste.
Parce que ce que tu ressens est vrai.
Et parce que tu es déjà légitime.

Et si tu sens que ce message te parle,
que tu veux toi aussi comprendre ce que ton prénom raconte,
et ce qu’il porte de ton histoire —

Rejoins l’ atelier “Ce que cache ton prénom” — en ligne le 20 novembre à 18h30.